De naturalis quadratum

Sursum deorsum, inversio I

Alors je demeure, ce qui chute s’élève et ce qui s’élève chute. En un simulacre de rétablissement du cadre de référence, tel le feu qui ne consume pas, je remonte le cours tombant de la cascade et descends la croissance des troncs montants. Le carré arrête des mouvements qui ne peuvent connaître d’arrêt. Les seuils font rebondir ce qui s’écoule, s’accroît, figeant le constant devenir. Proche est ce qui m’est loin, lointaine ma proximité : les creux de falaise jaillissent vers moi, l’eau saillie s’enfonce au plus profond du monde.